La grand-tante d'Alexandra, violoniste dans sa jeunesse, parvient enfin à mettre des mots sur ce qu'elle a vécu à Auschwitz. Elle raconte à Alexandra comment son violon, pourtant détruit par les nazis, fut sa seule chance de survie pendant sa déportation et elle se souvient des liens très forts qui l'unissaient à ses co-détenues tziganes.